Dans l’industrie des métaux non ferreux, les hauts fourneaux et les fours de fusion subissent des conditions extrêmes : températures dépassant 1600 °C, flux acides ou basiques, cycles thermiques rapides. C’est là que les matériaux réfractaires traditionnels échouent — usure prématurée, fissuration, perte d’efficacité. Mais une solution a émergé : la brique en carbone-silice nitrurée (Si₃N₄-bonded SiC).
Ces chiffres ne sont pas seulement des statistiques — ils traduisent une transformation concrète sur le terrain. Chez une usine de cuivre en Chine du Sud, l’ancienne brique se cassait tous les 6 mois. Après le remplacement par notre Si₃N₄-SiC, la durée de vie a augmenté de 35 %, avec une baisse de 18 % de la consommation énergétique grâce à une meilleure gestion thermique.
Nous avons installé cette technologie dans plus de 10 usines industrielles majeures, dont trois au Maroc, deux en Inde, et une en France. Un client européen, spécialisé dans la production d’aluminium, rapporte une réduction de 25 % des arrêts imprévus liés aux pertes de réfractaires. L’un de nos clients japonais, après 18 mois d’utilisation, confirme : “Cette brique nous permet de planifier nos opérations avec plus de fiabilité. Elle est fiable comme un outil professionnel, pas comme un matériau de substitution.”
Avec plus de 80 % de notre production exportée vers l’Europe, l’Asie et le Moyen-Orient, nous sommes aujourd’hui soutenus par des groupes comme ThyssenKrupp, Alcoa, et plusieurs fabricants de réfractaires européens qui utilisent nos produits comme référence dans leurs propres gammes.
Ce n’est pas un hasard si plus de 20 grandes entreprises du secteur ont déjà testé cette solution — elles savent que le bon matériau peut transformer leur productivité, réduire les coûts d’entretien, et améliorer la sécurité des opérations.
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